dimanche 23 février 2014

Papyrus n°26


Je reçois de nombreux messages me reprochant de ne plus publier d’article sur ce blog et c’est tout à fait justifié. Mes doigts gourds et l’occupation incessante de ce chantier sont autant de circonstances atténuantes, bien sûr, mais rien ne trouve grâce aux yeux de ces admiratrices. Car ce sont en majorité des femmes. Donc je présente ici officiellement mes excuses à ces groupies que je décide de nommer aujourd’hui les Cavènettes. Ben quoi, il y avait bien les Claudettes ?
Alors, chères Cavènettes, voici du nouveau et du lourd.

Et quand je dis du lourd je pèse mes mots (Ha ! Ha ! Ha !) Car il y a quelques jours, Philippe est venu encore une fois me donner un coup de main et c’est à quatre qu’il nous a fallu nous employer pour dresser l’escalier en métal qui desservira les chambres de la grange. Sous la houlette de Sylvain (alias Dark Vador)...


...et de son jeune Padawan...


...et grâce aux techniques égyptiennes remises au goût du jour par Philippe, nous pûmes tels des demi-Dieux des temps anciens dresser l’engin et le raccorder au balcon. Cet exploit impressionna tant Dom qu’elle ne put résister au désir d’immortaliser ce défi aux lois de la pesanteur. Admirative devant l’énergie dégagée par ces colosses en pleine action et spécialement devant mes muscles tendus comme des arbalètes elle pressa le déclencheur pile au moment où…c’était fini.



 Bien sûr pendant ce temps Sébastien Botticelli continu son chef d’œuvre avec une patience Bouddhiste digne d’une ceinture noire de yoga.



Soudain, surgit d’on ne sait où Denis fait une apparition afin de continuer l’électricité et ... repart dans la foulée, fidèle à sa réputation d’électricien alternatif.


Maître Jacques arrive à son tour et s’attaque sans coup férir au petit cabanon qui deviendra le local technique de la piscine.


Patiemment, la petite cour attend, quant à elle, son revêtement de travertin et la petite avancée de toiture qui la couronnera.


A l’intérieur aussi il y a du nouveau. Le salon est arrivé...(la table marocaine va disparaitre, rassurez-vous)


Deux exemplaires des chaises attendent leurs frangines avec impatience et la grande pièce commence à ressembler à ce que l’on avait en tête...


Et puis hier, en avance sur le programme, Helmut nous a installé le lustre qui dominera la grande table. C’est un artisan d’art de Laurac en Vivarais qui crée des modèles uniques (La font du ciel) et dont la célébrité va croissante. Nous, on adore…




Voilà, chères Cavènettes, chères lectrices et chers lecteurs d’ailleurs, j’espère que votre impatience est calmée pour quelques jours. Cette semaine sera encore riche et je vous promets que je vous tiendrai au courant avant samedi prochain.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire