Je ne peux pas commencer cet article sans rendre hommage à
cet immense Monsieur, ce grand homme du XX° siècle qu’était Nelson Mandela.
Bien sur, rien à voir avec le sujet de ce blog, mais son exemple de courage, de
volonté et de tolérance demeurera un des piliers du monde à venir, du moins je
l’espère au plus profond de moi.
Mais vous savez bien que la vie continue, donc je me
replonge dans mon chantier et je vous narre la suite de l’histoire.
Mais je n'ai pas la tête à la déconnade. Désolé.
Ceci dit, je ne vais quand même pas plomber l'ambiance et, en premier lieu, je me dois donc d’honorer une promesse, celle que
je vous avais faite de vous présenter Audrey et Anthony, les propriétaires du
camping du Mas de Linde, où nous avons élu domicile depuis le mois de juillet. Ils sont
adorables et nul doute que nous deviendrons amis par la suite.
Voici leurs portraits
En ce qui concerne le chantier, la journée d’hier fut
impressionnante. Dès le matin un camion transportant 10m3 de béton était en
place devant l’entrée pour couler, à l’aide d’une pompe à rallonge, la dalle de béton de la grange. Pendant ce temps-là, le
carreleur était lui aussi muni d’une pompe (plus petite) et coulait une chape
dans notre salle de bain/dressing. Bien entendu tous les autres étaient là également,
électricien, plombier, plaquiste et peintre et, franchement, ils sont tous impressionnants
d’efficacité. Autre région, autres mœurs ? Sans doute, sans doute…
Quelques images du Beyrouth de Cavène pour vous donner une
idée de l’ampleur de la tâche.
Le "Merlo"
La pompe à béton
La cour dans toute sa splendeur
Etalement du béton de la chape
Le carreleur
Sébastien, le peintre et Denis (Mr 100 000volts)
Sinon, je suis encore fracassé, mais ça devrait s'arranger à partir de demain. Allez, prenez bien soin de vous les amis. On vous embrasse.
coucou,
RépondreSupprimerUne grosse pensée pour vous dans l'attente de pouvoir venir vous voire bientôt.
Bisou