Pas grand
chose de nouveau à vous signaler aujourd'hui en dehors d’un nouveau passage à grande
vitesse du jardinier de l’impossible. Marc a en effet débarqué ce matin avec ses deux
assistants qui le regardaient comme un Dieu vivant. Il a lancé son turbo-tracteur à réaction à travers le terrain du
bas et en quelques minutes il a broyé tout ce qui se présentait. Puis ils ont arraché les arbres morts qui ne servaient plus que de perchoirs à oiseaux et
enfin ils ont taillé un chêne et deux ou trois autres dont les noms ressemblent
à des potions du moyen-âge. Enfin, ils ont planté une haie destinée à cacher
dès le printemps, le cimetière en contre-bas du terrain. Ce n’est pas que l’on
soit dérangé par ces voisins particulièrement calmes, convenons-en, mais la vue de
leurs bungalows pourrait déranger. « Ceci dit, on viendra chez nous pour
la quiétude… » ai-je pensé, mais point trop n’en faut. Voici donc des
photos vous montrant l’avancée du travail.
Pendant ce temps-là,
j’arrachais le lierre qui, au fil des ans, avait envahi les murs de la grange. Cette activité à
hauts risques (puisque effectuée sur une échelle que j’avais emprunté à
Richter, un voisin) a esbaudit ma Dom qui s’est aussitôt emparé de l’appareil
photo pour immortaliser l’événement.
J’avoue avoir un instant pensé qu’elle
voulait filmer le moment probable où j’allais me vautrer pour gagner à
Vidéo-gag, mais pas du tout. Elle voulait simplement me tirer le portrait.
Cette fois-ci la photo est bien nette. Le seul souci c’est que pour me
reconnaître il faut vraiment faire un effort. Jugez-en :
Bon, elle persévère (pourvu qu'elle les retrouve...) Allez! Soyez sages et portez-vous bien; L'épisode suivant arrive bientôt...
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